Regarder mon mari se faire sodomiser

Catégories : Gode ceinture strapon Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem Hommes fessés Pantyhose collants bas petite culotte corset
il y a 6 mois

Nous sommes un couple très joueur pour les choses du sexe. Notre amour de jeunesse était grandiose, nous nous sommes mariés alors que nous n’avions pas 20 ans. Autant dire que nous étions encore novices sous la couette et pour tout ce qui porte sur les fétichismes.

Passé le temps des intenses fusions charnelles dites « sages » nous avons commencé l’exploration d’autres horizons sur internet avec des vidéos pornographiques. L’idée étant de reproduire des choses que nous voyons à l’écran, cela mettait du piment dans nos relations sexuelles. Le BDSM ne nous attirait pas, du moins au début, car nos recherches portaient surtout sur les fétichismes, ce qui pourraient nous exciter et nous amuser.

L’encasement, signifiant faire l’amour revêtus de collants de la tête aux pieds fut notre première expérience. Si mon mari était gêné d’enfiler des collants, avec sa verge affichant une solide érection, il ne pouvait nier que la matière lui déplaisait. Moi cela m’amusait, je n’avais aucune arrière pensée. Outre les plaisirs de l’amour, je profitais grandement de sa forme olympique.

Le plaisir anal s’est aussi invité dans nos pratiques, c’était évidemment que pour moi, son petit derrière masculin devant être réservé à une seule activité. Nous nous sommes amusés avec ça un certains temps. Au début, il me faisait sortir avec un rosebud dans les fesses puis cela est devenu plus gros avec des sextoys. Le but était parfois de me préparer à une sodomie surprise derrière un fourrés ou dans la forêt.

Après x négociations, en le rassurant sur le fait que je savais pertinemment qu’il n’était pas gay, j’ai eu enfin accès à ses fesses. La première fois, il avait accepté que je lui mette mon premier (rosebud](https://abcplaisir.com/fr/recherche?controller=search&orderby=position&orderway=desc&search_query=rosebud&submit_search=). En guise de « « récompense » je me suis amusée à le rendre fou. Je lui ai fait une fellation tout en jouant avec le sextoy avant de m’empaler sur lui sans le lui retirer. Il a tellement adoré que la fois suivante il a accepté que je lui mette un petit gode.

Cet orifice, est devenu une aire de jeu aussi bien pour mes fesses que les siennes. Le pile ou face décidait qui devait s’occuper de l’autre en guise de préliminaires. Après la douche, câlino-thérapie anale à coups de bisous, de langue et insertion d’objet accompagnée d’autres câlins avant de « nous sauter dessus » pour nous dévorer. J’avoue avoir une certaine attirance pour les fesses masculines. Ce n’est pas ce que je regarde en premier chez un homme mais presque.

L’envie de souligner les fesses de mon mari en les « moulant » avec des vêtements collants comme les tenues de sport m’a poussée à lui en acheter. Cette seconde peau m’excitait beaucoup. Les collants féminins sont rapidement revenus dans nos jeux, les miens ouverts à l’entrejambes les siens totalement fermés mais avec un sorte de préservatif en nylon sur le devant.

Un soir, nous somme montés sur Fessestivites pour regarder des vidéos. L’idée était de nous en trouver une qui nous plaise et que nous pourrions reproduire. La première ne nous convenant pas et nous laissant de marbre, j’ai cliqué que celle d’après qui m’a électrisée. Une femme armée d’un gode-ceinture imposait une fellation à son soumis. Mon mari a voulu changer de vidéo mais je lui ai demandé de la laisser parce que cela me faisait des choses.

Quand j’ai vu la suite, je n’ai pas pu retenir mes doigts et j’ai commencé à me caresser en regardant la femme sodomiser son soumis sous cage de chasteté. J’ai retiré ma culotte et j’ai demandé à mon mari de venir me brouter le minou. Autant dire que je n’ai pas été longue à venir. La vidéo terminée, je n’ai pas eu le temps de me lever, il m’a prise sur le canapé et « consommée » comme un sauvage pour mon plus grand plaisir. Si j’aime la douceur, j’ai bien aussi être un peu bousculée de temps en temps.

Quelques jours plus tard, étant en RTT imposés, je surfais à nouveau sur ce site mais là, j’ai choisi les vidéos dans la rubrique gode-ceinture. Après avoir fait des « infidélités » manuelles à mon mari, je suis montée sur la boutique ABCplaisir pour nous en acheter un. Bien décidée à reproduire la fameuse vidéo, j’ai aussi commandé une cage de chasteté.

Quand le colis est arrivé, mon mari n’a pas aimé mes idées. Il en a quand même eu une à laquelle ne n’avait pas pensé. Un soir, après m’avoir attachée les poignets à la tête du lit et bandé les yeux, il s’est amusé à me chauffer et à me dire qu’il avait invité un copain. Je ne l’ai évidement pas cru. C’est quand j’ai senti deux verges contre moi que j’ai compris ses intentions. Il avait enfilé le gode ceinture et comptait essayer de me faire une double pénétration. Après avoir galéré et compris qu’il faut commencer par le vagin avant de passer à l’orifice voisin, je me suis faite « exploser ». Ce fut géant, grandiose, j’ai joui comme une perdue parait-il en criant des choses surprenantes.

Ces « choses » je ne m’en souviens pas, j’étais dans la stratosphère et quasiment inanimée quand, épuisé, il s’est couché sur moi après avoir pris son plaisir.

Le lendemain, je lui ai juré que je me « vengerai » et que, moi aussi, je le ferai « mourir » de plaisir. Il rigolait et m’a traitée de « salope » en m’embrassant avec amour. C’était la première fois qu’il utilisait ce mot, cela ne m’a pas gênée et je m’en suis amusée en lui disant que j’en étais fière, que j’étais fière de combler mon « salop » de mari. Cela m’a valu une petite fessée de préliminaires puisque nous étions un samedi. Ce fut chaud, chaud, parce qu’il avait compris que j’avais vraiment envie de jouer. Il a utilisé mes « trois trous » en mode dominateur et m’a encore comblée puisque comme indiqué, de temps en temps, j’aime l’amour rude, sauvage, bestial et surtout, être « sa chose ».

Si le gode a resservi, que sur moi, pour la cage de chasteté j’ai du négocier longtemps pour qu’il accepte. Ayant lu sur le forum chasteté qu’il faut plusieurs jours pour que cela fasse vraiment de l’effet, je suis parvenue à lui mettre un vendredi soir. Salope je l’ai été pour de vrai en mode dominatrice allumeuse ! Ayant remarqué que l’encasement et les collants lui faisaient de l’effet, j’ai orienté notre soirée sur ce thème. Autant dire qu’il m’a suppliée de lui retirer la cage mais j’ai refusé. Le lendemain, idem, je n’ai pas compris ses suppliques et rappelé plusieurs fois, qu’un deal était un deal. Il devait la porter jusqu’au dimanche soir.

Il m’a menacée de commander une ceinture de chasteté pour femme mais je n’ai pas cédé ! Mon idée était de le pousser dans l’excitation pour qu’il accepte que je le sodomise avec le gode ceinture. Avec cet objectif en tête, le samedi soir, je me suis occupée de ses fesses avec beaucoup d’amour pour préparer, sans qu’il le sache, son petit orifice. Il coulait à travers sa cage. En me comportant comme la pire des allumeuses manipulatrices, j’ai fini par obtenir son accord pour le gode ceinture. Cela n’a pas été si difficile que ça, il avait déjà un gode dans les fesses.

Sauf que moi, ce n’est pas dans la main que je voulais ce gode, mais sur la ceinture enfilée à ma taille ! Ne pouvant dire que le gode lui faisait mal, il finit par céder et me tendre ses fesses comme une petite salope. Deux minutes plus tard, j’étais couchée sur lui et l’avais sodomisé. J’ai pris tout mon temps, je bougeais très lentement en lui faisant des caresses de partout. Monsieur a fini par me demander d’aller plus fort et plus vite. Je ne l’ai pas épargné et me suis éclatée. j’ai trouvé ça grisant et ultra excitant. Si excitant que je lui ai retiré sa cage de chasteté en lui disant « venges-toi ».

C’est à la suite de cette soirée que nous avons commencé à faire des petits papiers. Attachée / attaché / encasement / collants / gode-ceinture pour monsieur / double pénétration pour madame / fessée pour madame / fessée pour monsieur / cage de chasteté un week-end. Cela nous permettait de varier les plaisirs en nous en remettant au hasard.

Un jour en tirant un des papiers dans le sac je suis tombée sur un nouveau qui m’a surprise : ceinture de chasteté . Le vilain en avait achetée une ! J’ai du passer le week-end dans ce carcan. Il ne me l’a même pas enlevée pour aller aux toilettes. Pour le popo, j’écartais la barre de derrière, et pour le pipi, ben je m’en mettais de partout, si bien que j’ai fini par les faire dans la douche. Monsieur s’est bien « vengé » en me rendant folle d’excitation. Il a été horrible de chez horrible en me mettant le gode ceinture par dessus. Sachant que j’adore ça et que cela me rend folle, j’ai du me promener dans la maison avec ça toute la journée. Et le soir, monsieur a utilisé son sextoy sur pattes, à savoir moi ! Après lui avoir donné du plaisir par derrière j’ai du m’occuper de son devant avec la bouche, n’ayant que cet orifice de libre. Autant dire que je ruminais de très « méchantes » idées de vengeance.

........

Un jour je lui ai dit que j’aimais beaucoup ses fesses et jouer avec son petit trou, avant de lui avouer que ce qui me ferait le plus plaisir, c’est un jour le voir te faire prendre par un homme. C’est un fantasmes que j’ai depuis bien longtemps et quand je regarde des vidéos Gay, cela m’excite. Pourquoi je ne sais pas, il faudrait demander à tonton Freud.

Ce qui m’a surprise c’est qu’il n’était pas contre ! Il m’a juste répondue cash que son fantasme était de me voir faire l’amour avec une femme en ajoutant, que tout cela devenait compliqué et nous emmènerait vers le libertinage que nous ne voulions pas. Sa remarque n’était pas fausse et m’ennuyait un peu. Je suis donc partie en chasse d’informations pour essayer de trouver une alternative nous permettant de ne pas aller trop loin dans ce monde.

« Qu’on tu le veuilles ou non, dès qu’il y a des rapports sexuels, même inter sexe, c’est déjà du libertinage » m’a répondue une copine du travail que je sais dominatrice. Et oui, entre femmes nous nous faisons aussi des confidences. Cette discussion intime a duré fort longtemps puisque après le travail, nous sommes allées boire un verre toutes les deux. C’est là que j’ai appris qu’elle était bisexuelle et qu’elle aimait aussi jouer avec les femmes. De mon côté, dans ma jeunesse j’avais un peu joué à touche pipi avec une copine mais rien de plus. J’en garde encontre de très bons souvenirs. De fil en aiguille, elle m’a proposée que nous fassions une rencontre BDSM avec nos maris dans le rôle de soumis. Heu ? ? ? Comment mon mari allait prendre ça ?

Mal ! Il a mal pris cette idée tout comme le fait que j’en ai parlé à quelqu’un. Son vernis social semblait s’être fendillé. Pour le rassurer, je lui ai rappelé que ce ne sont que des jeux érotiques avant de lui dire que ma copine savait aussi que des fois, j’étais sa soumise. Je lui ai même dit qu’elle savait que j’avais passé un week-end entier sous ceinture de chasteté. Pendant ces échanges un peu tendus il a fini par admettre que je n’avais pas tord mais que c’était malgré tout gênant. Pour le convaincre, je lui ai proposé d’être soumise en même temps que lui et que si mon amie voulait me tripoter ou que je lui lèche la chatte devant lui, j’accepterai.

15 jours ! Quinze jours de négociations, de discussions furent nécessaires pour que je parvienne à le convaincre. Il ne me restait plus qu’à faire accepter l’idée à mon amie de nous dominer tous les deux. C’est passé comme une lettre à la poste, et, à son sourire de salope, j’ai compris qu’elle y avait déjà songé. C’est comme ça que Lydia est entrée dans notre vie.

La rencontre a eu lieux chez nous pour ne pas trop perturber mon mari. La condition fixée par Lydia était que nous soyons tous les deux sous un dispositif de chasteté., sous cage pour mon mari et sous ceinture de chasteté pour moi. Autant dire qu’il s’est fait un plaisir de me mettre sous ceinture de chasteté le vendredi soir en me provoquant jusqu’au moment où je lui ai tendu sa cage. Hi hi hi, le vilain ne s’y attendait pas. Chacun ayant la clé du dispositif de chasteté de l’autre, autant dire que nous nous étions quasiment lancé une sorte de défi mutuel.

Lydia est arrivée vers 18h30 avec le dessert et son mari avec deux bouteilles de champagne. Ces messieurs se sont vu imposer de faire le service. Mon mari a apporté les fluttes et le sien à débouché la première bouteille avant de nous servir. La « « fête » » a immédiatement commencé par une fessée cul nu !

En effet, en remplissant les fluttes, il a fait couler des bulles sur la table basse du salon. Il s’est fait « gronder » par Lydia qui l’a attrapé par l’oreille jusqu’à une chaise où elle s’est assise pour le déculotter et le coucher sur ses genoux. La fessée fut courte mais appuyée, la garce semblait y prendre un certain plaisir et son mari aussi. J’étais conquise par la scène qui, pour la première fois était réelle et non pas devant un ordinateur. En clair, je mouillais déjà pas mal.

  • Ah, cela semble t’amuser de regarder ton copain se prendre une fessée ? A déclaré Lydia à mon mari devenant blême. Et bien par solidarité masculine tu vas en prendre une aussi !

Quand elle a ouvert et baissé son pantalon en tirant son slip en même temps, j’ai bien cru qu’il allait avoir une crise cardiaque ! En Maîtresse expérimentée, elle n’avait aucun hésitation. Attrapé fermement par le bras il s’est retrouvé fesses et cage de chasteté à l’air couché sur les genoux d’une femme bien décidée à lui donner une fessée. Si elle a été beaucoup plus soft qu’avec son chéri envoyé au coin, mon mari n’en menait pas large. Quand après sa petite fessée elle a planté ses ongles dans les fesses comme pour y faire des dessins, le pauvre n’arrêtait pas de s’agiter. Je crois que si je n’avais pas eu ma ceinture de chasteté, je me serai touchée tant tout cela m’excitait.

  • Et toi, au lieu de mâter les mâles se faire punir et de t’exciter tu aurais pu nettoyer la table. Je crois que cela mérite aussi une fessée, qu’en pensez-vous messieurs ? A demandé Lydia à nos maris respectif.

Comme vous vous en doutez, ils ont approuvé !

Cette garce leur a demandé de me conduire à elle et de me tenir sous prétexte que j’avais une tête de rebelle à mater. Ma résistance n’était que de principe et pas très sauvage comme vous vous en doutez. Ma robe de soirée remontée et ma culotte baissée, mon intimité à peine masquée par la ceinture de chasteté était exposée aux yeux de son mari tenant mes jambes. Le mien, quant à lui me tenait les mains. Pendant que je prenais moi aussi une fessée, j’ai vu dans ses yeux que tout cela ne le laissait pas de marbre. Non seulement il souriait mais en plus il affichait un petit regard mesquin très provocateur. Et cet « enfoiré » a ajouté quand il a compris qu’elle allait s’arrêter de me claquer les fesses que je lui avais tiré la langue. Si j’ai eu droit à la double peine à cause de lui, le voir s’amuser me chauffait le coeur !

La soirée se limita à ça, Lydia jugeant que pour une première il ne fallait pas nous affoler mais plutôt nous donner envie de recommencer. Pendant que nous sirotions le champagne et discutions de divers jeux et fétichismes, cette salope demanda les clés de nos dispositifs de chasteté en nous promettant de nous les rendre le lendemain. Son but était clair, nous pousser dans nos jeux en nous rendant soumis à nos désirs d’abandon et de perte de contrôle. C’est moi qui ait accepté car mon mari n’était pas très chaud. Après leur départ, nous étions un peu perturbés par ce qu’il c’était passé. En même temps, une sourde excitation nous tenaillait. Un vrai paradoxe que nous nous sommes avoués avant de passer sous la couette. Après une nuit agitée, une grasse matinée câline s’imposait.

La sensation générée par nos caresses mutuelles, était différente, plus intense, le fait de ne plus avoir les clés de nos dispositifs de chasteté galvanisait nos neurones coquins. Comme promis, Lydia nous a rapporté les clés le lendemain soir en nous confiant celles de la cage de chasteté de son mari. En faisant cela, elle nous entraînait vers d’autres échanges, d’autres jeux.

Cette première rencontre BDSM ouvrit la porte à de nouveaux fantasmes. Un soir après le travail, je suis allée boire un verre avec Lydia. Je lui ai donc avoué mes fantasmes de soumission à une femme mais surtout, de voir mon mari se faire prendre par un homme.

« Jouer avec toi me plairait beaucoup par contre, convaincre ton mari à se faire prendre par un homme sera bien plus difficile. Il risque de faire un sérieux blocage et d'avoir peur d’être considéré comme un gay. Et ça, ce n’est pas gagné. Je veux bien t’aider mais il faudra que nous y allions par étapes » m’a indiquée Lydia en me dévoilant son plan.

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J'espérais que Lydia allait garder beaucoup plus longtemps les clefs des deux dispositifs de chasteté. 😁
J'aime beaucoup cette histoire, vivement la suite
Super histoire, j’ai hâte de lire la suite
Belle histoire ,un rêve pour moi .
Mais merci pour cette belle histoire ! Je me suis laissée complètement enivrée dans les scènes ☺️
Dommage je ne peux pas lire la suite.😥😥
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